Queenstown

C’est à Queenstown que nous avons choisis d’atterrir en Nouvelle-Zélande. Le vol depuis le Japon a été assez mouvementé et la compagnie décevante mais bref, ne la jouons pas « on a mal mangé dans l’avion » parce que l’arrivée et même le survol de la Nouvelle-Zélande efface rapidement ces petits tracas !

Survol de l'île du sud

Nous trouvons l’atterrissage sur Queenstown étonnant. Contrairement à ce que nous attendions, l’aéroport est en effet plutôt petit – mais magnifique, un terrain de golf longe la piste tandis que notre Boeing se partage la piste avec un avion de chasse kiwi.

Atterrissage dans les montagnes

Nous croiserons un personnel extrêmement sympathique, depuis l’immigration jusqu’au centre d’information touristique, en passant par la douane où s’opère un contrôle très strict pour se prémunir de la seule menace qui pèse sur le pays : le contrôle de biosécurité.

Alors un conseil : il vaut mieux débarquer avec une barre de céréale et la déclarer – oui car ici on déclare la nourriture que l’on a sur soi, que de n’avoir rien à déclarer car le contrôle semble plus long !

Vue de Queenstown

Nous, bons élèves et un peu par peur de l’amende de 400$, nous avons tout déclaré… sauf qu’on en avait oublié une partie mais bon avec un sourire et notre accent français on s’en est bien tiré !

À la sortie de l’aéroport, c’est le choc. D’abord, les alentours montagneux sont beaux, il y règne un grand calme et il fait un temps superbe. Ensuite, nous commençons à réaliser que nous ne sommes plus en Asie et qu’une nouvelle partie du voyage commence. Pour fêter ça, on s’offrira deux jours de sieste.

Lac de Queenstown

Nous émergeons et nous partons visiter la ville, qui nous apparait charmante. Nous réalisons alors que Queenstown n’est pas une grande ville – il n’y en a que 3 en fait en Nouvelle-Zélande. Elle ne compte en effet que 10 000 âmes, n’en déplaise au point énorme sur la carte qui la figurait.

Queenstown

Par contre, c’est la capitale de l’extrême sportif : première sortie, nous voyons des parachutes tomber du ciel, des VTT qui descendent des escaliers sous les acclamations de la foule, du rugby, des boutiques proposant des sauts à l’élastique, du rafting, du groovejet (un petit bateau qui bombarde sur le lac en faisant des 360, qui fait crier les gens, peur au canard et qui pollue) et autres.

Et puis nous rencontrons un couple bien sympa avec qui nous partageons notre premier fish&chips local puis nous faisons la connaissance d’un jeune maori – déjà bien gaillard – musicien répondant au nom de …Ricco.

Silver Fern symbole du pays

Nous ferons aussi connaissance de la jeunesse australienne dans l’auberge, une rencontre exclusivement sonore, vers les deux-trois heures du matin, mais passons…

Jardin de Queenstown

Queenstown nous a permis de récupérer : se reposer et manger au bord du lac avec les canards, avoir des petits déjeuners (saucisses de mouton et champignon géant inclus) qui auraient pu nous nourrir la journée en Asie. Il est d’ailleurs bien difficile de nous dégager de nos bonnes vieilles habitudes ou repères.

Automne en Nouvelle Zélande

En parlant de repère, nous louons une voiture pour le reste de notre séjour et nous partons de Queenstown en roulant… à gauche bien sûr !

 

1 Commentaire

Les commentaires sont fermés.

  1. Milie 11 années Il y a

    Quel changement ! Pas trop perturbés ?

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